
GRANDES RÉALISATIONS
Le Billard en bronze • Le Billard sculpté • Le Billard du Roi
Si la renommée internationale de Chevillotte n’est plus à faire dans la fabrication de billards haut de gamme, c’est également vrai pour son savoir-faire inégalé dans la restauration de billards anciens.
Car la passion du billard, c’est aussi de faire revivre d’anciennes tables de jeu et de très beaux meubles qui témoignent du savoir-faire et du sens artistique de nos ancêtres. Plus qu’une « simple » réparation, la restauration est avant tout une philosophie, un noble respect de l’art des siècles passés, une volonté de faire perdurer des meubles d’exception.
Ne pas confondre « billard ancien » et « billard d’occasion » ! Sont considérés et classés « billards anciens » les meubles datant du XVIIIe ou du XIXe siècle, réalisés dans des bois précieux (amarante, citronnier, ébène, noyer, sycomore…).
Un Billard en Bronze
Dans l’un des derniers hôtels à la mode de New York, Le Public Hotel, le designer Eric Schmitt a fait appel au savoir-faire de Chevillotte pour la réalisation d’une pièce unique.
Le lieu : un Condominium 4 étoiles dans le sud de Manhattan. Le bâtiment est confié au duo Herzog & de Meuron, pour l’aménagement intérieur c’est l’agence Ian Schrager Company qui est à la manœuvre.
Un Billard Sculpté
Le client n’est pas russe, mais son épouse l’est. Alors l’agence en charge de la décoration de l’hôtel particulier du couple, l’une des plus grande du pays fait appel à Chevillotte. Pour ce projet de 6 années et qui entre dans sa dernière phase, certains meubles font corps avec le bâti et rappellent les bois utilisés dans la décoration des murs. Le billard en fait parti.
C’est un 12ft, soit 3m90 de long, le plus grand des billards au monde, ici dans la version russe qui se joue avec 16 billes, 15 blanches et 1 rouge sur une table à 6 trous.
Le Billard du Roi
Entre le billard et le collectionneur, une passion : celle de posséder une pièce historique.
Un billard ancien peut aussi être un « terrain de jeu », dans ce cas la restauration s’oriente différemment : à l’origine, le plateau est marqueté de bois dur, chêne ou noyer, mais à la fin du XIXe siècle, c’est l’ardoise qui se développe considérablement et qui offre les meilleures conditions de jeu.